Citations - Jacques Chirac
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Jacques Chirac (1932 - ), homme politique français.
Œuvres
La France pour tous
- Bientôt les bébés éprouvettes emprunteront les autoroutes de l'information !
Discours
Orléans (21 Mars 1981)
- La véritable démocratisation de l'école est celle qui donne à chaque enfant le maximum de chances.
Paris (7 Avril 1981)
- L'État est un rempart nécessaire pour éviter une culture uniformisée et soumise aux réalités économiques.
Conférence de presse (26 Mai 1981)
- On fait les cadeaux avant les élections et on décide les impôts tout de suite après.
Courbevoie (18 Mars 1984)
- L'État doit être un garant et non un gérant.
Saint-Étienne (Janvier 1986)
- Dans la vie il y a des hauts et des bas. Il faut surmonter les hauts et repriser les bas.
Antilles (Avril 1995)
- Rien ne peut justifier le développement de la pensée raciste.
Campagne présidentielle (1995)
- La politique n'est pas seulement l'art du possible. Il est des moments où elle devient l'art de rendre possible ce qui est nécessaire.
- Le grand méchant Tchétchène est en train d'aiguiser son couteau, mais ton papa veille. (débat télévisé avec Lionel Jospin).
Allocution présidentielle (14 juillet 1996)
- Il n'y aura plus d'étudiants à Jussieu d'ici la fin de l'année. (En réaction au problème de l'amiante dans les bâtiments de l'université parisienne, )
Toulon (15 Août 2004)
- C'est à Alger, siège des institutions de la France combattante, que se reconstituaient, sur l'autre rive de la Méditerranée, face à la métropole occupée, les armes de la France. Ce rôle si crucial et si singulier méritait, à l'évidence, d'être reconnu. C'est pourquoi j'ai décidé, à titre exceptionnel et unique, de conférer à la ville d'Alger en tant que capitale de la France combattante, la croix de la Légion d'honneur.
Média
L'Express (journal, 22 Novembre 1971)
- De Gaulle nous a quittés, mais nous n'avons pas quitté de Gaulle.
L'Auto-Journal (magazine, 1 Août 1977)
- J'apprécie plus le pain, le pâté, le saucisson, que les limitations de vitesse.
Le Monde (journal, 22 Février 1988)
- Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent.
Le Point (magazine, 30 Avril 1988)
- Le mensonge est une pratique détestable contre laquelle nos démocraties occidentales sont largement protégées, grâce, notamment, à l'action de la presse.
Le Nouvel Observateur (décembre 1990)
- Plus on aura d'immigration, plus on aura d'insécurité. Ce n'est pas une question ethnique mais notre immigration est une immigration bas de gamme. On va vers de graves conflits raciaux qui seront la conséquence du refus des Français d'être envahis par d'autres cultures. Toute race a l'instinct de se préserver.
Le Figaro (magazine, 20 Juin 1992)
- Un chef, c'est fait pour cheffer.
Le Figaro (magazine, Février 1993)
- Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir.
Libération (journal, 17 Février 1995)
- Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière.
Interview sur France 2 (télé, 10 mars 1997)
- J'entends : Ah ! Nous sommes en retard mais ce n'est pas vrai ! Nous avons en France le minitel. La boulangère d'Aubervilliers sait parfaitement interroger sa banque par minitel alors que la boulangère de New-York en est incapable.
- L'ordinateur a été inventé il y a 50 ans et, maintenant, c'est un phénomène de société et demain, dans une ou deux générations, ce sera une réalité socio-économique qui conditionnera toute notre existence.
Allocution télévisée (10 Mars 2003)
- La guerre, c'est toujours un ultime recours, c'est toujours un constat d'échec, c'est toujours la pire des solutions, parce qu'elle amène la mort et la misère.
- Le désarmement suppose une transparence. Et les dictatures ne résistent pas longtemps à la transparence.
Marianne n°184
- Buvons à nos femmes, à nos chevaux, et à ceux qui les montent. p.18
Attribuées
- À propos des anglais : « La seule chose qu'ils ont fait pour l'agriculture européenne, c'est la vache folle », « on ne peut pas faire confiance à des gens qui ont une cuisine aussi mauvaise », « Après la Finlande, c'est le pays où on mange le plus mal ». Cité dans Libération (4 juillet 2005) ~ Lorraine Millot
Confirmation de ses dires lors d'une entrevue télévisée du 14 Juillet 2005 en déclarant qu'il n'avait pas dit que la cuisine britanique était la moins bonne du monde.
- Dans une campagne, il faut aller chercher les électeurs avec les dents. Cité dans Le dauphin et le régent ~ Catherine Nay
- De nos jours on fait des greffes de tout; de reins, de poumons, de peau, la seule qu'on ne fait pas c'est celle de couilles faute de donneurs.
- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, je l'ai toujours dit.
- Il ne faut pas blesser une bête : on la caresse ou on la tue. Cité dans L'année Chirac : l'avenir à bras-le-corps ~ Veziane de Vezins & Raymond Pronier
- Je crois que les deux sexes sont complémentaires.
- Ma femme est un homme politique. Cité dans L'année Chirac : l'avenir à bras-le-corps ~ Veziane de Vezins & Raymond Pronier
- Mon grand-père était plus grand que mon père. Mon père était plus grand que moi. On dégénère dans la famille.
- Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs. Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui ensemble gagnent environ 15 000 francs et qui voit sur le palier à côté de son HLM entassée une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosses et qui gagne 50 000 francs de prestation sociale sans naturellement travailler... Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur, hé bien le travailleur français sur le palier, il devient fou. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyen d'honorer le regroupement familial. Et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays... qui est un vrai débat moral pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier au même titre que les français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne payent pas d'impôt. (Discours à Orléans le 19 juin 1991, en particulier mediatisé par le groupe de musique Zebda, avec leur titre Le bruit et l'odeur)
Depuis Wikipédia (à ranger)
- Sur la durée du mandat présidentiel
— « Je suis favorable à un mandat de sept ans non renouvelable. » (La Presse de Limoges, 19 février 1981)
— « Il faut envisager, pour rapprocher dans le temps le pouvoir présidentiel de sa source populaire, une réduction du mandat à cinq ans. » (Le Monde, 25 janvier 1983)
— « Eh bien, moi je considère qu'il y a aujourd'hui suffisamment de problèmes à régler [...] sans créer de débats douteux et sur lesquels nous allons nous affronter. C'est la raison pour laquelle je considère que le quinquennat n'est pas d'actualité. » (débat télévisé avec Lionel Jospin, le 2 mai 1995)
— « Le quinquennat, sous une forme ou sous une autre, serait une erreur, et donc je ne l'approuverais pas. » (intervention télévisée du 14 juillet 1999
— « Le problème est de savoir si l'on peut réduire la durée du mandat présidentiel, ce à quoi je n'ai, naturellement, jamais été hostile. [...] Si les Français répondent oui, c'est très bien, s'ils répondent non, c'est très bien. » (entretien télévisé, 5 juin 2000)
- Sur la dissolution
— « Il est hors de question que je dissolve l'Assemblée. Hors de question. Je n'imagine pas un instant qu'un président décide de dissoudre le parlement simplement pour se donner le confort de constituer sa majorité. Ce serait le contraire des institutions telles que les avaient voulues le général de Gaulle. » (TF1, « 7/7 », en 1994)
— « Il faut avoir des principes si l'on veut gouverner sainement une démocratie. La dissolution n'a jamais été faite dans notre Constitution pour la convenance du président de la République. » (intervention télévisée, 14 juillet 1996)
- Accueillant à Orly Saddam Hussein, le 5 septembre 1975 (phrase citée dans Franz-Olivier Giesbert, Jacques Chirac, éd. du Seuil, « Points », 1995, p. 484)
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- « Vous êtes mon ami personnel. Vous êtes assuré de mon estime, de ma considération et de mon affection. »
- Introduction du discours prononcé au congrès fondateur du RPR le 5 décembre 1976 :
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- « Amis anciens et nouveaux, je vous salue. Nous voici réunis pour témoigner que le peuple de France, comme il l'a toujours fait dans les heures difficiles, se rassemble et se retrouve. Notre histoire est celle d'une Nation de la vieille Europe qui a donné au monde moderne l'essentiel de ses valeurs, qui n'a jamais cédé lorsqu'elles étaient menacées, qui a su en faire le patrimoine de chacun d'entre nous. Sur ces valeurs, nous avons fondé notre prestige, exalté notre unité. Nous avons bâti l'idéal d'une société de liberté, affirmant la dignité et la responsabilité de ses membres. Qui ne reconnaîtra que ces exigences tiennent au cœur de l'immense majorité de nos concitoyens, et qu'elles valent tous les sacrifices, lorsqu'elles sont menacées ? Or, les menaces s'accumulent. Il est temps d'en prendre clairement conscience. »
- L'appel de Cochin, 6 décembre 1978
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- « Il est des heures graves dans l’histoire d’un peuple où sa sauvegarde tient toute dans sa capacité de discerner les menaces qu’on lui cache. L’Europe que nous attendions et désirions, dans laquelle pourrait s’épanouir une France digne et forte, cette Europe, nous savons depuis hier qu’on ne veut pas la faire.
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- Tout nous conduit à penser que, derrière le masque des mots et le jargon des technocrates, on prépare l’inféodation et la France, on consent à l’idée de son abaissement. [...]
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- L’élection prochaine de l’Assemblée européenne au suffrage universel direct ne saurait intervenir sans que le peuple français soit exactement éclairé sur la portée de son vote. Elle constituera un piège si les électeurs sont induits à croire qu’ils vont simplement entériner quelques principes généraux, d’ailleurs à peu près incontestés, quant à la nécessité de l’organisation européenne, alors que les suffrages ainsi captés vont servir à légitimer tout ensemble les débordements futurs et les carences actuelles, au préjudice des intérêts nationaux.
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- 1° Le gouvernement français soutient que les attributions de l’Assemblée resteront fixées par le traité de Rome et ne seront pas modifiées en conséquence par le mode d’élection. Mais la plupart de nos partenaires énoncent l’opinion opposée presque comme allant de soi et aucun assurance n’a été obtenue à l’encore de l’offensive ainsi rencontrée, tranquillement, par avance. [...]
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- 2° L’approbation de la politique européenne du gouvernement supposerait que celle-ci fût clairement affirmée à l’égard des errements actuels de la Communauté économique européenne. Il est de fait que cette Communauté — en dehors d’une politique agricole commune d’ailleurs menacée — tend à n’être, aujourd’hui, guère plus qu’une zone de libre-échange favorable peut-être aux intérêts étrangers plus puissants, mais qui voue au démantèlement des pans entiers de notre industrie laissée sans protection contre des concurrences inégales, sauvages ou qui se gardent de nous accorder la réciprocité. [...]
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- 3° L’admission de l’Espagne et du Portugal dans la Communauté soulève, tant pour nos intérêts agricoles que pour le fonctionnement des institutions communes, de très sérieuses difficultés qui doivent être préalablement résolues, sous peine d’aggraver une situation déjà fort peu satisfaisante. [...]
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- C’est pourquoi nous disons NON.
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- Non à la politique de supranationalité.
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- Non à l’asservissement économique.
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- Non à l’effacement international de la France.
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- [...]
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- Comme toujours quand il s’agit de l’abaissement de la France, le parti de l’étranger est à l’œuvre, avec sa voix paisible et rassurante. Français, ne l’écoutez pas. C’est l’engourdissement qui précède la paix de la mort.
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- Mais comme toujours quand il s’agit de l’honneur de la France, partout des hommes vont se lever pour combattre les partisans du renoncement et les auxiliaires de la décadence. »
- Le Monde, 19 janvier 1985 :
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- « La France est une puissance musulmane et une société multiraciale ».
- Entretien accordé à Franz-Olivier Giesbert le 22 juin 1985 (cité dans Franz-Olivier Giesbert, Jacques Chirac, éd. du Seuil, « Points », 1995, p. 419)
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- « […] Pour le moment, tout ça n’est pas bien grave. Il y a un type, Le Pen, que je connais pas et qui n’est probablement pas aussi méchant qu’on le dit. Il répète certaines choses que nous pensons, un peu plus fort et mieux que nous, en termes plus populaires. […] »
- Débat télévisé, 27 octobre 1985, lors de la campagne pour les élections législatives de 1986 :
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- « Ne m'interrompez pas sans arrêt, vous êtes comme le roquet, Monsieur Fabius », qui lui réplique : « Monsieur Chirac, vous devriez changer de ton, vous parlez au Premier ministre de la France tout de même ! ». C'est toutefois ce poste que Fabius cèdera à Chirac à la suite des législatives qui avaient motivé ce débat.
- Discours à la Fondation du futur, le 18 janvier 1986
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- « Lorsque nous serons huit à dix milliards d'être humains, Européens, Américains du Nord et Soviétiques ne représenteront plus que 20 % de cette multitude. Il est à craindre que notre richesse, notre culture, notre savoir, ne pèsent pas lourd face à un déferlement qui se présentera forcément sous le seul aspect du rapport de force. »
- Sommet européen de Bruxelles février 1988 :
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- « Mais qu'est-ce qu'elle veut de plus, cette mégère ? Mes couilles sur un plateau ? »
- Incident diplomatique qui a fait la une de la presse britannique ; le Sun titre : « le Premier ministre français est ordurier ». Pendant toute une nuit, traducteurs officiels et interprètes particuliers s'interrogèrent pour savoir si Jacques Chirac avait traité MModèle:Me Thatcher de « mégère » ou de « couille ».
- Discours à Marseille le 10 mars 1988 (cité dans Le Monde, 12 mars 1988)
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- « Si je ne peux pas l’admettre [la multiplication des réactions racistes et xénophobes], je peux le comprendre. »
- Débat électoral entre les deux tours de l'élection présidentielle de 1988, François Mitterrand y commentant son action comme on évalue un subordonné :
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- Jacques Chirac : « Permettez-moi juste de vous dire, que, ce soir, je ne suis pas le Premier ministre et vous n'êtes pas le président de la République. Nous sommes deux candidats, à égalité. Vous permettrez, donc, que je vous appelle monsieur Mitterrand. »
- François Mitterrand : « Vous avez raison, monsieur le Premier ministre. »
- Discours à Orléans le 19 juin 1991 :
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- « Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs. Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui ensemble gagnent environ 15 000 FF et qui voit sur le palier à côté de son HLM entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosses et qui gagne 50 000 FF de prestation sociale sans naturellement travailler. Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur, eh bien le travailleur français sur le palier, il devient fou. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial et il faut enfin ouvrir le débat qui s'impose dans notre pays qui est un vrai débat moral pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier au même titre que les Français d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne payent pas d'impôts. […] Le premier racisme n’existe pas entre les français d’origine et les immigrés, mais entre les Arabes et les Noirs. »
- Cette phrase fait à l'époque scandale, est régulièrement rappelée par ses détracteurs, dont la chanson Le bruit et l'odeur de Zebda.
- L'Express, 15 juin 1994
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- « Personne ne pense que je réfléchis. »
- La France pour tous, Nil éditions, 1995, pp. 97/98
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- « La géographie et l'histoire ont contribué au tissage d'une exception française qui doit rester exceptionnelle. »
- À l'issue du conseil européen de Turin, le 29 mars 1996
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- « Rien ne nous indique qu'il y a une transmission possible à l'homme [de l'encéphalopathie spongiforme bovine, la maladie de la vache folle]. Je dénonçais tout à l'heure l'irresponsabilité de certains journaux à grande vente, qui, pour vendre du papier, et disant n'importe quoi, affolent tout le monde. [...] En tout cas, je peux vous dire qu'il y avait à déjeuner du veau et que tout le monde a mangé de bon appétit. »
- Conférence de presse à Brazzaville, le 18 juillet 1996
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- Question : Est-ce que pour vous la colonisation a eu globalement un effet négatif ou un effet positif ?
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- Jacques Chirac : Un effet positif, j'ai toujours beaucoup respecté la période de l'empire colonial français. Je pense qu'il s'agit là d'une belle page de notre histoire et je ne la renie en aucun cas. […] Ceci étant, il y a eu des conséquences graves, non pas à la colonisation, mais à l'histoire qui la précédait.
- 16 septembre 1998
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- « Il suffit d'attendre. Jospin va se planter. C'est la loi de la cohabitation, je suis payé pour le savoir. »
- Jacques Chirac avait durement subi la cohabitation avec François Mitterrand. Comme lui, Lionel Jospin était sûr de son bilan et persuadé de l'emporter. La même mésaventure était arrivée à Edouard Balladur; il est difficile de concilier les charges d'une campagne électorales avec celles d'un premier ministre, ce que les journalistes politiques nomment la malédiction de Matignon.
- Le Parisien. 10 mai 2000.
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- « S'opposer, c'est comme faire du vélo : quand on ne pédale plus, on tombe. »
- Sur l'affaire Méry. Septembre 2000
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- « abracadabrantesque ».
- Réaction de Jacques Chirac lors d'un entretien télévisé évoquant l'affaire de la cassette de Jean-Claude Méry. Ce mot figure dans un poème d'Arthur Rimbaud, à la seconde strophe du « Cœur supplicié », aussi intitulé « le cœur volé », ou « le cœur du pitre », et peut être considéré comme un hapax pour la fin du XXe siècle. Il a été soufflé à Jacques Chirac par Dominique de Villepin.
- À l'issue de la réunion du G7 à Gênes, le 20 juillet 2001
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- « Il est certain que nous saurons mettre en œuvre les moyens nécessaires pour empêcher que l'Argentine ne s'effondre. »
- Autres morceaux choisis
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- « Cela m'en touche une sans faire bouger l'autre. »
- « Il y a beaucoup de choses que j'aime à part le football et la bière. »
- « On fait les cadeaux avant les élections et on décide les impôts tout de suite après.» 26 mai 1981
- « Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir. » (mais cette phrase a été attribuée également à Charles de Gaulle d'une part et à Georges Pompidou d'autre part)
- « Ma femme est un homme politique. »
- « On peut rester actif après une bonne bière. »
- « Je suis anti-chasseurs. Mais je vous comprends : si un lièvre vous attaque, il faut bien que vous vous défendiez. » 10 mars 1994
- « Je n'adhère pas à la SFIO, il y a trop de conservateurs. »
- « En 1994 [on pourra] se baigner de nouveau dans la Seine. Et je serai le premier à le faire. » 28 novembre 1988 (cela n'est toujours pas possible en 2005).
- « This is not a method !! »