Citations - Nicolas Sarkozy
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Nicolas Sarkozy (né en 1955) est un homme politique français.
- « Être jeune gaulliste, c'est être révolutionnaire ! » (Assises nationales de l'UDR à Nice en juin 1975)
- « Je suis le fils d'un immigré hongrois chassé par le communisme. Mon père a fui la Hongrie, caché sous un train, en 1949.» (Libération]], 1991)
- « L'électro-encéphalogramme chiraquien est plat. Ce n'est plus l'Hôtel de Ville, c'est l'antichambre de la morgue. Chirac est mort, il manque juste les trois dernières pelletées de terre.» (Avant les élections présidentielles de 1995)
- « si la police et la gendarmerie se sentent mal aimées, mal considérées, mal respectées, nous n'obtiendrons pas les résultats attendus » (Assemblée nationale, débats parlementaires, JO du 18 juillet 2002, 1re séance du mercredi 17 juillet 2002)
- « Comment peut-on être fasciné par ces combats de types obèses aux chignons gominés ? Ce n'est vraiment pas un sport d'intellectuel, le sumo ! » (Hong Kong, 9 janvier 2004). Citation démentie par Nicolas Sarkozy
- « Nous vivons dans un monde où tout le monde n'a pas les mêmes scrupules, où tous les coups peuvent être donnés et où, pour abattre quelqu'un, on utilise tous les procédés. Rien ne me détournera de la route que j'ai choisie.» (Le Monde, 2005)
- « Ce qui aliène l'homme, c'est le chômage ; ce qui libère l'homme, c'est le travail.» (France Info, 2005)
- « Le travail libère l'individu. [...] Le travail est une valeur de libération » (Journal de 20h00 de France 2, 29 mars 2005)
- « Nous allons nettoyer la cité des 4000 [à la Courneuve] au Kärcher.» (Juin 2005)
- « Le juge qui a remis en liberté le meurtrier de Mme Cremel devra payer pour sa faute.» (Juin 2005)
- « La réussite et la promotion sociale ne sont pas un dû que chacun peut réclamer en faisant la queue à un guichet. C'est mieux : c'est un droit, un droit que l'on mérite à la sueur de son front ». (Université d'été des Jeunes Populaires à La Baule, le dimanche 4 septembre 2005)
- « Il faut fermer tous ces squats et tous ces immeubles pour arrêter ces drames et c'est ce que j'ai demandé au préfet de police parce que ce sont des êtres humains qui sont logés dans des conditions inacceptables » « À force d'accepter des gens malheureusement à qui on ne peut proposer ni travail ni logement on se retrouve dans une situation où on a des drames comme ça ». (France Inter, mardi 30 août 2005)
- « Vous en avez assez hein ? Vous avez assez de cette bande de "racailles"? Et bien on va vous en débarrasser » (25 Octobre 2005, quartier de la Dalle du Val d'Argent Argenteuil).
- « Nous sommes en train de démanteler l'économie souterraine et de mettre fin aux agissements d'un certain nombre de voyous. Que cela ne leur fasse pas plaisir, c'est certain, mais ce n'est pas fait pour ça », (27 Octobre 2005, Déclarations à la presse)
- « ...voyous, des assassins et qui ne doivent pas être confondus avec l'immense majorité des jeunes de banlieue » (Libération, 2005)
- « Dominique de Villepin ne tiendrait pas dix minutes de plus que moi si je devais quitter le gouvernement. » (à propos des violences urbaines - Le Point du 10 novembre 2005.)
- « Ceux qui ont brulé le bus ou il y avait cette handicapée de 56 ans dont j'ai recu les filles; ceux qui ont caillaissé un bus pour mettre à l'hôpital un gosse de 18 mois; quand je dis "ce sont des voyous", ou des "racailles"; je persiste, et je signe. [...] Ceux qui sont capable de blesser un bébé de 18 mois, ce ne sont pas des jeunes. Parce que les jeunes valent mieux que ça. Ce sont des voyous. » (10 novembre 2005, lors d'une émission télévisée)
- « Si j'avais un reproche à me faire, c'est que compte-tenu d'un certain nombre d'individus que nous avions face à nous et leur pedigree judiciaire, le mot racaille est sans doute un peu faible. » (19 novembre 2005, devant les militants parisiens de l'UMP).
- « M. Thuram, ça fait bien longtemps qu'il n'a pas été dans les banlieues. Il vit en Italie, avec un salaire qui le regarde. ... je ne reconnais aucun titre à Joey Starr, compte tenu de son passé, ni à Jamel Debbouze de me donner des leçons de droits de l'homme ou de respect des autres. Nous pouvons comparer nos bilans. » (23 décembre 2005, interview à Libération)
- « Je préfère l'excès de caricature à l'excès de censure. On ne va pas établir la censure parce que l'Islam de France est devenue la deuxième religion de France. La démocratie, c'est la possibilité de la critique, de l'échange des arguments, de la caricature (...) et ça ce n'est pas négociable».(2 février 2006 sur LCI à propos de la polémique déclanchée par des caricatures de Mahomet parues au Danemark et publiées dans France Soir).
- « On entre en France légalement, sinon on n'y entre pas. »(5 février 2006, interview au journal du dimanche)
- « Depuis 1981, aucune majorité sortante ne s'est succédée à elle-même. Le zapping électoral est devenu la règle. » (18 février 2006, reception des nouveaux adhérents de l'UMP.
- « Si, par extraordinaire, les adhérents du mouvement politique que je préside devaient décider que c'était moi, il est certain que la question de ma présence au gouvernement se poserait à ce moment-là. » (01 mars 2006, sur Canal+ à propos de la compatibilité entre sa candidature à la Présidence de la République et sa présence au gouvernement).