Citations - Kaamelott

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Kaamelott, série télévisée française.

  • Demetra : Vous voyez, moi, il vient me voir quand il est triste, alors je le console.
    Guenièvre : Ah, moi, quand il revient il est crevé et veut que je lui foute la paix.
  • Arthur entrant chez Merlin.
    Arthur : Y a des merdes d’oiseaux partout par terre chez vous, c’est parfaitement dégueulasse.
    Merlin : Non, non, mais ça c’est moi quand je me transforme en chouette, l’impression de liberté et tout...
  • Perceval : Moi, mon neveu, il est chaudronnier, des graals il peut m’en sortir trente par jour !
  • Arthur : Un peu de tenue quand même, la Table Ronde c’est pas un barbecue !
  • Le maître d’armes provoque Arthur : Prends garde, espèce de vieille pute dégarnie !
  • Perceval : Comment vous voulez que je soulève une trentaine d’archers ?
    Arthur : Ne me dites pas que vous ne savez pas ce que veut dire « soulever des troupes » ? Je l’utilise chaque semaine au conseil !
    Perceval : ... Ben, c’est une expression pour donner du courage aux hommes, c’est comme « battre en retraite », non ?
  • Guenièvre : Aujourd’hui, j’ai une petite surprise pour vous.
    Séli : Une surprise! ? Mais vous m’avez rien dit !
    Arthur : C’est un peu le principe de la surprise, en fait.
  • Perceval : C’est pas faux.
  • Perceval : L’important c’est les valeurs.
  • Le maître d’armes : Je ne mange pas de graines !
  • Karadoc : Je trouve que vous êtes trop souvent victime des quolibets.
  • Arthur : Nan, moi je crois qu’il faut que vous arrêtiez de dire des trucs ; ça vous fatigue déjà, et puis pour les autres, vous ne savez même pas ce que c’est. Moi, quand vous faites ça, ça me fout une angoisse ! J’pourrais vous tuer, je crois. De chagrin, hein !
  • Perceval : Les réunions de la Table Ronde, c’est deux fois par mois. Donc, si le mec dit « après-demain » à partir de dans deux jours, suivant si il le dit à la fin du mois ça reporte.
  • Karadoc : Moi, les dates c’est mon rayon. Tenez : prenez aujourd’hui, rajoutez sept jours, ça nous emmène dans une semaine, et bien on sera le même jour qu’aujourd'hui. Enfin, à une vache près, hein, c’est pas une science exacte.
  • Léodagan : Les Chevaliers de la Table Ronde... Encore heureux qu'on s’est pas fait construire un buffet à vaisselles.
  • Séli : Des bons à rien, j’en ai vu, mais le coup de la Table Ronde, alors là... C’est le rendez-vous des mains dans les poches.
  • Perceval : Si Joseph d'Arimathie n’est pas trop con, le Graal, c'est un bocal à anchois.
  • Gauvain : Mon oncle, mon cœur est empli de la noblesse de cette quête ! J’ai le courage de l’oiseau !
  • Ygerne de Tintagel : Du temps de Pendragon, on avait le sens du dramatique : le Lac, Stonehenge, Avalon... Maintenant, dès qu’ils croisent un dragon, ils font un meeting.
  • Calogrenant : Passe de côté, esquive, attaque droite, hop ! La dague dans la main gauche, garde inversée et crac ! Trente centimètres de feraille dans les côtelettes !
  • Yvain : La quête du Graal, je peux pas y aller, j’ai une otite.
  • Galessin, duc d’Orcanie : Vous avez qu’à dire au pape que s’il trouve que ça traîne, il n’a qu’à venir le chercher lui-même, son gobelet à la con !
  • Léodagan : C’est pas parce que vous faites des tartes pour des petits enfant qui existent pas que je dois les emmener à la pêche !
    Séli : Je vais en faire tous les jours, des tartes, et je vais varier les fruits.
    Arthur : Vous allez varier les pâtes aussi ?
  • Perceval : Non, vous, vous vous marravez ! Quand on a pas d’technique, faut y aller à la zone.
  • Perceval (soûl) : PAYS DE GALLES INDÉPENDANT !!!
  • Perceval : Vous nous utilisez bon gré mal gré pour arriver sur la fin !
  • Gauvain : Vous croyez que ça a de la valeur, mon oncle ?
    Arthur : Je sais pas, les pièces d'or, ça a de la valeur, vous pensez ?
    Gauvain : Dans le doute, prenons-les quand même !
  • Arthur :       J’en ai assez, assez, de ces vaines paroles.
                      Vos routes, vos champs, jamais rien ne convient.
    Léodagan :  Arrêtez de chougner, il faut bien qu’on s’y colle.
    Arthur :       À quoi bon, s’il vous plaît, puisqu’on n’y changera rien ?
    Ygerne :      Auriez-vous du mépris à l’égard de la chose ?
                      Les problèmes du peuple ne sont-ils plus les vôtres ?
    Guethenoc : Attention, Sire Arthur, aujourd’hui j’ai ma dose.
                      Si vous voulez que ça file, occupez-vous de nous autres.
    Arthur :       Qu’ai-je à faire de tout ça, vos histoires de poiriers ?
    Léodagan :  De pommiers, il me semble.
    Arthur :                                                Et bien, qu’est-ce que ça change ?
    Ygerne :      Mais jusqu’à Tintagel, il vient me les planter !
                      À des jours de chez lui, c’est tout de même étrange !
    Guethenoc : Ne croyez pas, madame, que plaisir ça me fasse.
                      J’ai autre chose à faire que de courir les routes.
    Ygerne :      Alors quoi ?
    Guethenoc :                   Par ici, il n’y a plus de place !
                      Je dois migrer chez vous, même si ça me coûte.
    Arthur :       Des pommes, toujours des pommes, c’est à se demander...
    Léodagan :  Il en tombe quinze à terre chaque fois que quelqu’un tousse.
    Ygerne :      Quel est ce culte étrange qu’aux pommiers vous vouez ?
    Guethenoc : Mais, est-ce ma faute à moi, s’il n’y a que ça qui pousse ?
  • Perceval (à Arthur au sujet de la Dame du Lac): Oh la la, elle va pas me gonfler longtemps la rouquine !