Citations - Alias
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Alias est une série télévisée créée par J.J. Abrams.
Sommaire |
Saison 1
- MARSHALL (à propos de son "rouge à lèvres-appareil photo-caméra") : Pour l'instant, il ne prend que 42 photos, mais je voudrais parvenir à 47, parce que... c'est un nombre premier.
- WEISS (à Vaughn) : Couilles d'Acier. C'est comme ça que je vais t'appeler maintenant. Hé, je t'ai présenté Couilles d'Acier ?
- MARSHALL (à propos de sa dernière invention) : Même Sony dirait 'Marshall c'est carrément génial'.
- MARSHALL : Tu sais ce que c'est le son que tu viens d'entendre, là, ce boum ? C'est mon esprit qui explose.
- MARSHALL : OK, ça ressemble en tout point à un sac à main normal, que tu porterais en sortant avec tes amies. Vous mettez vos trucs de femmes dedans, mais, microphone parabolique. Il a un transmetteur laser qui porte à un rayon de trois cents mètres, ah, et j'ai aussi ajouté un filtre basse fréquences pour le vent, qui éliminera tous les sons parasites en dessous de cent cinquante hertz. Enfin, c'est pas qu'il y aura du vent là où vous serez. En fait, il n'y en aura probablement pas, mais disons qu'il y ait du vent, vous savez, comme une brise légère, comme une (siffle). Ou bien du vent fort, comme un coup de vent, comme un (souffle et souffle encore). Avec ca ? Rien. Silencieux. Filtre à vent.
- VAUGHN : Bon, prenons les choses dans l'ordre. C'est une charge de C4. Je le sais, car c'est écrit C4 partout dessus.
- WILL : J'ai l'impression d'avoir quinze ans !
SYDNEY : C'est l'âge de ta stagiaire.
WILL : J'étais sûr que tu allais...
SYDNEY : L'administration Clinton ne t'a donc rien enseigné ?
- WILL (à Sydney, à propos de la meilleure façon d'annoncer à Francie que Charlie la trompe) : Voilà ma suggestion : assure-toi qu'elle est assise et complètement bourrée.
- DIXON : Au fait, si en récupérant le manuscrit de Rambaldi tu répères un sandwich...
SYDNEY : Ca marche.
- SYDNEY : Ils t'ont appris le déminage à la CIA ?
VAUGHN : Juste les bases, on n'est pas rentrés dans les détails
SYDNEY : On apprend plus vite quand c'est pour sauver sa peau.
- SYDNEY : Recherche et étude de renseignements militaires et industriels à travers le monde pouvant nuire à la supériorité et à la survie des Etats-Unis d'Amérique. C'est leur slogan.
- VAUGHN : J'ai besoin que tu t'occupes de Donovan.
WEISS : Qui ?
VAUGHN : Comment ça, qui ? Donovan, mon chien.
VAUGHN : Juste une demi-boîte. Je ne veux pas d'un chien bouboule.
- WILL : Je n'habite pas ici.
SYDNEY : Alors pourquoi es-tu toujours là ?
FRANCIE : Oui, tu ne payes même pas de loyer.
WILL : Mais qu'est-ce qui se passe, c'est "à l'assaut de Will" ?
Saison 2
- SYDNEY : Comment va Weiss ?
VAUGHN : Toujours à l'hôpital, mais les docteurs disent qu'il ira bien. D'ici là je dois nourrir ses poissons.
- VAUGHN : Vous n'êtes pas le gars avec qui l'on travaille le plus facilement, hein ?
KENDALL : Non. Non, vraiment pas.
- SARK: C’est vous qui nous avez posé des problèmes au site de lancement. Je vous offrirais bien un ticket de retour pour la civilisation, mais mon sous-marin de contient que 4 places.
SYDNEY: C’est l’intention qui compte.
- IRINA : Alors, Sydney, comment vont les études ?
SYDNEY : Je rédige ma thèse. Enfin, je suis censée.
- MARSHALL : Ce que j'ai ici est un tube ordinaire de rouge à lèvres. Disons que vous êtes à la plage et que vos lèvres vous font... "mes lèvres sont gercées !", ou bien alors vous êtes à un rendez-vous amoureux, c'est la fin de la soirée et vous allez vous embrasser, vous voulez que vos lèvres soient souples... Pistache. C'est la sorte que je préfère. Mais vous le retournez et voilà une caméra miniature avec un injecteur d'air comprimé. Regardez, allez y, souriez, vous passez à la télé ! ... Euh, en tout cas, y'a trois caméras dans le tube ; en fait, je voulais en mettre quatre, mais après y'aurait plus eu de place pour le vrai rouge à lèvres.
- MARSHALL : Saviez vous que les ours polaires ne pouvaient pas être détectés sur une photo infrarouge ? Leur fourrure n'émet pas de chaleur. Rien. Zarro. Zip.
- SYDNEY : Certaines personnes font du minigolf avec leurs parents. Nous, nous allons en Inde et nous cherchons des bombes nucléaires.
- SYDNEY : Je ne peux pas donner au SD-6 un faux Marshall !
- DIXON : Je parle neuf langues. La techno n'en fait pas partie !
- WEISS (alors que Sydney et Vaughn s'embrassent) : Les gars, j'ai parlé à la base. On leur a botté le cul. Eh les gars, vous avez entendu ce que j'ai dit ? Leurs culs... bottés.
- LENNOX : J'aurais juré que tu étais blonde.
SYDNEY : Je l'étais. Mes cheveux sont bruns, en général. Difficile de s'y retrouver.
- JACK (à propos de Kendall) : Légalement, il a raison. Ethiquement, c'est un con.
- WEISS: Elle t'a donné un tiroir, hein?
VAUGHN: C'était une question de commodité.
WEISS: Et, hum, qu'as-tu mis dedans?
VAUGHN: En quoi ça t'intéresse ?
WEISS: Comment ça, en quoi ça m'intéresse ? Sais-tu à quel point tu es gâté ? Tu sais, un tiroir ! J'aurais aimer avoir une copine qui me dise "Hey, est ce que tu veux un tiroir ?"
VAUGHN: Je te donnerai un tiroir chez moi
WEISS: Je ne veux pas de tiroir chez toi.
- MARSHALL : Je le jure sur la tombe de ma mère, je ne sais pas... Et bien que techniquement maman soit toujours vivante, elle a réservé sa tombe, donc.
- SYDNEY : Weiss, où est Vaughn ?
WEISS : Et voila qui je suis, le type qui sait où est Vaughn. Est-ce que t'as déja appellé Vaughn en lui disant " Vaughn, où est Weiss ?"
- FRANCIE: Will a invité tous ses copains ex-toxicos
WILL: Et ce sont des gens biens !
FRANCIE: Je suis sûre qu'ils sont fantastiques mais 90 % de nos recettes vient du bar et ils ne boivent pas.
- BARNETT : Et comment décririez-vous une famille "normale" ?
JACK : Je suppose que c'est une famille dont les membres n'auraient pas ordre de se mentir les uns aux autres.
Saison 3
- VAUGHN : Je ne savais pas que vous portiez des lunettes.
JACK : Juste quand je fais de la chirurgie.
- SARK ( à Lauren déguisée en Syd) : Je dois avouer que ton déguisement correspond à certains de mes penchants.
LAUREN : Si ce coup-là marche, je serai ravie de rendre réel ton petit fantasme de malade.
- SLOANE : Sydney, tu as ma parole.
SYDNEY : C'est réconfortant.
- MADRCZYK : Vous vous appelez Julia Thorne. Vous êtes née à Londres le 2 août 1973.
SYDNEY : Je m'appelle Sydney Bristow, sale con.
[...]
MADRCZYK : Vous vous appelez Julia Thorne.
SYDNEY : Vraiment ? Alors pourquoi je m'appelle Sydney Bristow ?
- (Marshall et Carrie se marient) MARSHALL : Je vous aime, Madame Flinkman !
CARRIE : Je garde mon nom.
MARSHALL : OK.
- LAUREN : Si tu l'aimes, tu vas baisser ton flingue. (Vaughn le baisse) T'es vraiment un boy scout.
Saison 4
- WEISS : Vous n'avez pas à analyser tout ce que vous faites. Vous pouvez juste décider de vous amuser.
SYDNEY : Nous nous amusons
WEISS : Ouais. Les gars, vous êtes aussi réactifs que mes grands-parents. Et ils sont morts.
- MARSHALL : Tu te frottes à un copain de Flinkman, tu te frottes à Flinkman.
- MARSHALL : Voulez-vous m'épouser, M. Bristow ?
- ANTHONY : Euh, Jack, je ne veux pas être présomptueux, ni vous dire comment faire votre boulot, mais le corps humain n'est pas conçu pour supporter ce truc. Qui que soit ce pauvre gars que vous allez torturer --
JACK : Curieux états d'âme de la part de quelqu'un qui tue des singes pour se faire du fric.
- SYDNEY : Juste au cas où, oui, je veux t'épouser.
Saison 5
- SYDNEY : Tu danses la valse !
VAUGHN : Oui, je me suis entraîné pour notre mariage.
SYDNEY : Avec qui ?
VAUGHN : Weiss.