Citations - La Classe américaine
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La Classe américaine ou Le Grand Détournement est un film de 1993.
- Ce flim n'est pas un flim sur le cyclimse. Merci de votre compréhension.
- Monde de merde. (George Abitbol)
- Un pour l'argent, deux pour le spectacle, et trois pour le caillou. (Le putain d'énergumène)
- Le train de tes injures roule sur les rails de mon indifférence. (George Abitbol)
- Je préfère partir, plutôt que d'entendre ça, plutôt que d'être sourd. (George Abitbol)
- Je déteste les animaux préhistoriques partouzeurs de droite, bordel ! C'est de la merde de mélanger comme ça partouze et politique, c'est mieux d'faire les choses dans l'ordre ! (le professeur Hammond)
- Désolé papy, mais j'ai ma liberté d'expression capillaire. (un bab)
- Hervé Claude, Jean-Claude Narcy, faites place, ténors du journalisme ! J'arrive ! (Peter)
- L'homme le plus classe du monde meurt, et ses dernières paroles c'est « monde de merde ». Pourquoi il a dit ça ? C'est ce que j'veux savoir! C'est sûrement un nom, si c'est une femme, je veux savoir quelle femme. Si c'est un cheval, je veux savoir dans quelle course ! (Le patron)
- Ça va plus du tout, j'ai plus envie de boire ni de manger, j'ai plus envie de me peigner. J'suis limite nervous breakdown. (Dino)
- Après, il a fait justicier dans la ville, mais aujourd'hui, il a fini de frimer. On l'a retrouvé assassiné un jour. Il en est mort ! (Hugues)
- ...C'est ça la puissance intellectuelle... BAC+2 les enfants ! - George Abitbol
Dialogues
Les dialogues de la Classe américaine sont riches en références au monde du cinéma, de la télévision ou de la musique. On retiendra notamment :
- Bonjour, c'est moi Orson Welles. Ceci est ma maison que vous voyez derrière, là. Pas mal non ? C'est français. Je m'permets d'interrompre ce flim parce qu'on s'fout un peu de ma gueule. C'est du vol et du plagiat. J'aime pas trop les voleurs et les fils de pute. Dans ce flim, le héros meurt au début et des journalistes décident d'enquêter sur ses dernières paroles... comme dans Citizen Kane. J'appelle ça du plagiat. Les journalistes vont interviewer des gens sur le héros. Vous allez voir que les témoignages, ça va être des flashback. J'le vois trop arriver. (Il se fait tirer dessus). Ah... Rosebud ! (Orson Welles)
- Top ! Qui suis-je ? Je suis un animateur de France 3, je suis déguisé en noir. Mon émission passe tous les soirs à 18h35, je pose des questions à des champions... je suis ? je suis ? (Un soldat)
- Tu es... Tu es Julien Lepers ? C'est ça ? (L'acteur)
- Mon cher Peter, ça y est j'y suis. Même si mon déguisement n'est pas encore tout à fait fini : la casquette ainsi que les bottes ne me conviennent qu'à moitié. Je sens grandir en moi la flamme qui a du animer les grands reporters de ce siècle. Je pense à Albert Londres, Gunther Valraff, et autre Robert Namias ! (Steven)
- Mon cher Peter, je touche enfin au but. Que d'émotion devant cette simple bicoque tant désirée, que d'émotion, mais que de fierté aussi ! Hervé Claude, Jean-Claude Narcy, faites place, ténors du journalisme ! J'arrive ! (Steven)
- La mort de George n'était pas accidentelle, il s'est fait assassiner. (...) J'ai eu le tuyau par un dénommé Gorge Profonde. (Dave)
- Mais tu sais, je commence à en avoir plein le cul. Ouais, plein le cul. Nan mais c'est vrai. C'est pas une raison parce que je donne à tout le monde des bons tuyaux que je mérite pas un peu d'amour ? (Huggy les bons Tuyaux)
- Aime-moi tendre, aime-moi vrai ! (Le putain d'énergumène)
- Bon, écoute, tu peux faire ce que tu veux, mais évite de marcher sur mes chaussures en suédine bleue. (Le putain d'énergumène)
- Ne sois pas cruel. Un pour l'argent, deux pour le spectacle, et trois pour le caillou. (Le putain d'énergumène)
- Et voilà c'était mon souvenir. En tout cas, s'il cherchait pour du trouble, il est venu à la bonne place. (George)
- Mais comprenez-moi mes amis, c'est mon fils ma bataille, c'est le fruit de mes entrailles quoi ! (Callaghan)
- Dino : Mais j'te reconnais toi, j't'ai déjà vu quelque part, je suis sûr que j'te reconnais.
Frankie : Désolé, mais c'est moi qui te reconnais, j't'ai vu le premier, toi tu m'as vu en deuxième, vu ?
Dino : Bon, j't'ai vu le deuxième alors voilà.
Frankie : Perdu, c'est aussi moi qui t'ai vu le deuxième.
Dino : Oh, dis donc ! T'es super fort !
Frankie : Mais j'suis pas super fort, j'suis mieux que ça même, j'suis surpuissant !
Dino : Bon, ben lui il va me prendra la tête.
Frankie : Ca fait plusieurs fois que j'te croise, t'es toujours sur mon chemin. Tu veux quoi ?
Dino : Mais c'est peut-être toi qui est sur mon chemin, pas moi.
Frankie : C'est pas mal ça, le pin's sur la cravate.
Dino : C'est la classe.
Frankie : Mais au fait, toi ? D'où tu viens ? Humm ?
Dino : Moi j'suis juif.
Frankie : T'es juif toi ?
Dino : Oh oui je suis juif, et si tu veux tout savoir, j'suis même juif arabe.
Frankie : Juif arabe ? Humm. Je préfère les sépharades tu sais. A mon avis, juif et arabe, c'est bizarre. Moi j'aime pas les gens bizarres.
Dino : Oh merde, j'peux pas encadrer les nazis, mais laisse tomber.
Frankie : Précise ta pensée.
Dino : Pour être tout à fait exact...
Frankie : Mouaih ?
Dino : ...Je pense que t'es un ouf toi ! un ouf malade. En plus, c'est du racisme.
Frankie : Ça c'est ton opinion personnelle, que je suis raciste. Si tu veux mon avis, si y a un raciste ici, c'est oit !
Dino : De toute façon, ça sert à rien de discuter avec toi, t'as toujours raison.
Frankie : Si ça sert de discuter ! C'est toi qui as toujours raison.
- Peter : On dit une ouiche lorraine.
Steven : T'es sûr? Ca fait bizarre ouiche lorraine. - Patron : Ah Dave, tu tombes bien, entre. On prépare un dossier sur George Abitbol. Tu vas te mettre sur le coup mais tu seras pas tout seul. Tu seras avec Peter et Steven.
Dave : Peter et Steven... j'les aime bien. Mais pourquoi j'peux pas travailler seul ?
Patron : Parce que t'es trop mauvais.
Dave : Ah, ben là patron, vous m'avez convaincu, c'est une bonne raison. Je vais travailler avec Peter et Steven. - George : Écoute moi bien mon p'tit José. Tu baises les ménagères, bien, tu dois avoir le cul qui brille. Mais c'est pas ça qu'on appelle la classe.
- George : J'ai les bonbons qui collent aux papiers.
- Tu peux rester... Pas de problème ! J'suis même content que tu sois venu chez nous ! J'aimerais bien que tu restes. On va manger... des CHIPS !... T'entends ?... DES CHIPS ! C'est tout ce que ça t'fait quand j'te dis qu'on va manger des CHIPS ? (le chef indien bilingue)
- Secrétaire : Excusez-moi messieurs, heu... Peter il fait du boucan dans les waters !
- pilote : Mais qu'est-ce qu'on fait dans ce flim Bob ?
Bob : Je veux bien te le dire mais d'abord faut sucer... Détends toi je déconne - Steven : Bon, de une, tu poses tout de suite mon bouquin d'exercices isométriques et de deux on peut savoir ce que tu fais dans mon bureau ?
- Steven : Eh mais t'es un minable !
- Steven : Parce que pendant qu'on parle, Peter il a la méga chiasse ! Alors un peu de dignité s'te plaît !
- Dino : C'que j'arrête mec, c'est ma collec de pin's, ça m'fait plus marrer.
- George : Tu te réveilles à 35 ans pour te demander ce que ça veut dire « monde de merde » ? C'est pas que t'es indiscret, c'est juste que t'es un con.